Aujourd’hui, et depuis le limogeage de l’ancien Directeur Général, Guillaume CURTIS, par décret du président de la République, Alpha CONDE, autorité de tutelle de l’Autorité de Régulation des Marchés Publics, des attitudes dignes des époques du premier régime se relaient sur les sites internet alimentaires qui ne servent qu’à assombrir, les efforts engagés par le Chef de l’Etat dans sa volonté farouche d’influer et de lutter contre les mauvaises pratiques qui gangrènent l’administration publique.
Qui sont réellement les auteurs de ses attitudes ?
Que cherchent-ils dans leurs communications intempestives et dégradantes sur une structure qu’ils ont vus naitre et se voir expulser pour faute notoire ?
Peut-on faire porter la seule responsabilité de leur échec à l’actuel Directeur Général, Monsieur Jonas Mukamba K. Diallo ?
Ou doivent-ils se remettre en cause et se convaincre que c’est leur irresponsabilité qui est à la base du tohu-bohu ou de l’instabilité que traverse l’ARMP ?
Il faut juste préciser et saluer l’initiative de la création de l’ARMP. Et rappeler comme il est paru dans l’article « AUTORITE DE REGULATION DES MARCHES PUBLICS EN PROIE A DES INCENDIES REPETES» paru dans notre organe de presse, du 13 avril 2017, qui soutient la création de l’organisme par la Loi L/2012/020/CNT du 11 octobre, fixant les règles régissant la passation, le contrôle et la régulation des Marchés Publics et Délégations de Service Publics et le décret D/2014/167/PRG/SGG du 22 juillet 2014, portant organisation et fonctionnement de l’ARMP fait de cette structure un organisme spécialisé de l’Etat, placé sous la Tutelle du Président de la République. Sa mission, consiste à la régulation des marchés publics et délégations de service public, c’est-à-dire assurer le bon fonctionnement institutionnel et réglementaire du système des marchés publics et délégations de service public. Par ces fonctions et sur l’ensemble des trépieds (ACGPMP ; DNMP et ARMP), elle gère 80% de l’économie nationale, car le système de passation des marchés de l’Etat, est devenu le moyen par lequel, l’Etat s’assure de la réalisation de ses missions d’intérêts publics par des privés.
Deux faits majeurs, peuvent être retenus tirés du précédent paragraphe. Force est donnée à la Loi au Règlement, pour la création de l’A.R.M.P. Ce qui manifestement, dénote de la volonté du Législateur et de l’Exécutif, de mieux maitriser une situation qui auparavant ne profitait qu’aux seuls acteurs qui avaient la charge de passer les marchés publics de l’Etat.
Aujourd’hui, Jonas Mukamba K. DIALLO, a trouvé une situation établie et pourrie. Sa seule forfaiture, et ce qui semble lui être reproché, c’est d’avoir bénéficié de la confiance du Chef de l’Etat, le Président de la République, Le Professeur Alpha CONDE, de conduire la réforme de l’A.R.M.P, pour l’inscrire dans la dynamique qui lui est assignée et sur le respect de la Charte de Transparence et de l’Ethique dont sont signataires tous les employés qui ont servis dans cette Direction.
Cette réforme est sans appel et n’a pas été sans conséquence. A-t-elle visée des personnes nommément ? Ou est-elle venue assainir une situation existante ?
Pour répondre à ces deux questions, l’on dira tout simplement, que la réforme était impersonnelle et n’était pas non plus une chasse à la personne. Ensuite, la réforme, qui manifestement fait parler beaucoup de gens et alimente les choux gras d’une certaine presse alimentaire ou pour des buts inavoués, est soutenue par des actes administratifs qui sanctionne et corrige une certaine réalité qui menaçait à l’éclatement et à la disparition de l’A.R.M.P. Ces actes sont disponibles à l’ARMP et accessible pour fonder le jugement ou les critiques.
Pour en venir, aux critiques qui font l’objet des choux gras de la presse en ligne, de certaines presses alimentaires qui portent sur le personnel d’aujourd’hui et ceux qui n’y sont plus. Il faut juste aller chercher la qualité, dans leurs statuts. Que ceux qui portent des jugements définissent réellement leurs statuts, la vérité se saura.
Aussi, ce qu’il faut affirmer sans fléchir, le rajeunissement, la féminisation de l’administration doit être une réalité soutenue et accompagnée dans les arcanes de l’administration publique. L’A.R.M.P aujourd’hui, a, à son sein des jeunes certes qui par l’expérience professionnelle, ont du chemin à parcourir. Mais ces derniers, ont fait de grandes études, ils s’adaptent à la réalité et à l’exigence des fonctions qui leurs sont assignées, dont ils assument avec responsabilité. Pour preuve, cette même équipe est porteuse avec ceux restés de la réforme et de la nouvelle dynamique que présente l’A.R.M.P.
L’Autorité de Régulation des Marchés Publics (A.R.M.P) doit être jugée à l’œuvre, sur sa nouvelle dynamique. Aucun fait de corruption ou de lynchage n’affecte cette nouvelle équipe en construction.
Signé : L.T
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